Quatre prostituées avaient déposé plainte pour trois viols, menaces et vols sous la menace d’un cutter, fin 2020. L’accusé a reconnu des relations tarifées mais conteste toute violence. Il a décidé de faire appel.
« Il faut que ces femmes comprennent qu’elles sont prises au sérieux et qu’elles sont dignes de protection. J’espère que votre verdict leur montrera que vous avez su accorder foi à leur parole, et leur rendre un peu de dignité. C’est aussi une mise en garde pour tous ceux qui seraient tentés de traiter ces femmes en objets, en esclaves. »