Ce Compiégnois était au cœur d’une « diagonale » : un trafic d’héroïne qui partait des Pays-Bas, transitait par Compiègne, pour abreuver le Sud-Ouest de la France. Ouhisam M. tenait également des cercles de jeux clandestins.
Il avait entre les mains des dizaines de kilos d’héroïne, brassait billets et jetons de poker dans ses salles de jeux clandestines, partait en voyage en famille, achetait des véhicules de marque allemande… C’était la vie de « Roudourou », le surnom de Ouhisam M., du temps de sa superbe, entre septembre 2020 et décembre 2021.
