Le procès s’ouvre ce mardi devant la cour d’assises de Versailles. L’homme condamné en première instance à huit ans de prison pour le viol d’une jeune fille sera cependant jugé selon l’ancienne loi.
Malgré son apparence physique, « son âge réel est très rapidement perceptible lorsqu’on échange avec elle », avait souligné le magistrat. « La cour estime que les actes sexuels ont été commis par contrainte morale et par surprise », soit la définition du viol, avait conclu le magistrat. La victime, à « 11 ans et 10 mois, ne présentait pas la maturité suffisante ni le discernement pour consentir à la relation sexuelle ».