Les résultats de l’examen et production du rapport sur la santé mentale et émotionnelle de Madame Seynabou Kéba alias Nabou Dash sont connus.Tous ces comportements renseignent sur son état « bipolaire ». L’ex femme de Yarame Bergane présente un cas « excentrique, un discours prolixe centré sur des idées de grandeur et de richesse », renseigne le rapport. « Nabou fait toujours état de sa richesse pas plus tard que la veille de son interpellation, elle parlait de ses comptes bancaires dans toutes les banques du pays et de sa revanche sur la pauvreté qu’elle a connu en France en tant qu’étudiante étrangère. En plus, Nabou a une humeur instable, une exaltation psychique », poursuit-il.
Ce sont-là les conclusions du rapport sur sa santé mentale et émotionnelle qui a par ailleurs justifié la levée de sa garde à vue qui lui a été notifiée par la Division spéciale de la cybercriminalité. Le rapport médical indique, en effet, que ces éléments les amènent à conclure » l’hypothèse d’un trouble bipolaire en phase d’excitation »
Le rapport ajoute que Madame Seynabou Kéba Diop doit « impérativement suivre un traitement psychiatrique adapté pour recouvrer une stabilité psychique ». Il faut noter que cette branche de la police qui a interpellé l’ex de Ndiaw Fall alias Coco avait voulu consulter un spécialiste de la santé mentale pour avoir le cœur net sur l’état d’esprit de celle qui fait la pluie et le beau temps sur les réseaux sociaux depuis un certain moment.
Elle n’a pas gardé le silence après sa mise en liberté, ce jeudi 1er septembre. Ndèye Seynabou Kébé alias Nabou Dash vient de publier un message sur sa page Facebook pour rassurer ses abonnées. «Les chéries, je vais très bien. Je viens de rentrer à la maison à l’instant. Ne vous inquiétez pas pour moi. Comme je vous ai dit la vérité va toujours triompher », a-t-elle déclaré.
Suite aux plaintes déposées par « Monsieur Mbergane » et Sophie Guèye respectivement son ex-conjoint et la présidente l’association « Les Racines de l’Espoir », «l’influenceuse » a été arrêtée, hier, par la Division spéciale de cybercriminalité (DSC). Ce, avant d’être placée en position de garde-à-vue pour examen sur sa santé mentale.
